| Essais-BB Pour tous les curieux, les futurs parents en puissance, et surtout pour ceux qui ont envie d'avoir un Bébé, mais qui restent sur leur déception... |
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| Jeudi : infos, nouveautés... | |
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Missviolette Administratrice
Nombre de messages : 4321 Age : 49 Localisation : Près de Lyon Date d'inscription : 19/09/2005
| Sujet: Jeudi : infos, nouveautés... Jeu 2 Mar à 0:29 | |
| lu sur http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2006/03/20060301-054100.html
Vente d'ovules / Marché noir Santé Canada n'a pas l'intention d'intervenir Louis Mathieu Gagné Le Journal de Montréal 01/03/2006 05h41
Santé Canada n'a pas l'intention de mettre un terme au marché noir d'ovules révélé par Le Journal de Montréal.
L'organisme dit qu'il n'enquêtera pas sur les couples infertiles désespérés qui achètent illégalement des ovules.
«Ça nous prend des informations qui laissent croire qu'il y a un échange d'argent pour un don d'ovules, explique Francine Manseau, gestionnaire au bureau de la Loi sur la procréation assistée (C-6). Il faudrait qu'un citoyen ou une clinique dénonce une personne.»
Geste de désespoir
A-t-elle l'intention de demander une modification de la loi ? «Ce n'est pas mon rôle de me prononcer sur la loi. En ce moment, notre rôle est plus d'informer que de mettre des gens en prison», dit-elle.
«La vérité, c'est qu'avec l'élection des conservateurs, la loi est tombée aux calendes grecques. Ils (Santé Canada) ne peuvent même pas changer une virgule», croit le Dr François Bissonnette, spécialiste de la procréation assistée.
Rappelons que le Journal rapportait samedi que des ovules peuvent être achetés à des prix atteignant 10 000 $ par des couples en mal d'enfants.
Cette situation est due à la loi C-6. Elle interdit la rémunération des donneuses, causant une pénurie d'ovules au pays.
À l'Association des couples infertiles du Québec, on s'en réjouit. «Je sais que c'est illégal, mais je peux comprendre les couples qui le font. C'est un geste de désespoir. Il ne faut pas les pénaliser pour ça», croit Marie-Josée Joly.
Elle dit en vouloir «aux femmes qui exploitent le désespoir des couples infertiles en leur vendant des ovules pour faire une passe d'argent».
Elle demande à Ottawa de revoir sa loi pour rétablir la compensation financière des donneuses d'ovules. «Tant que ça sera pas fait, il y a des couples qui vont briser la loi», dit-elle.
Stupide
Même son de cloche à l'Association canadienne de sensibilisation à l'infertilité. «Cette loi est tellement stupide. Il faut la revoir plutôt que de criminaliser des femmes infertiles», dit Beverly Hanck.
Le Bloc québécois affirme aussi qu'il faut revoir la loi. «Il faut voir comment on peut rendre les ovules plus accessibles par la voie légale. Mais pour l'instant, une loi est faite pour être appliquée», dit Christiane Gagnon, députée de Québec et porte-parole en matière de santé.
Il a été impossible hier de connaître la position du Parti conservateur du Canada quant au marché noir des ovules.
lmgagne@journalmtl.com | |
| | | Missviolette Administratrice
Nombre de messages : 4321 Age : 49 Localisation : Près de Lyon Date d'inscription : 19/09/2005
| Sujet: Re: Jeudi : infos, nouveautés... Jeu 2 Mar à 0:30 | |
| lu sur http://www.elwatan.com/2006-02-25/2006-02-25-36941
Assistance médicale à la procréation Des résultats satisfaisants en attendant la Sécurité sociale
La prise en charge de ce type de traitement par la Sécurité sociale reste encore un problème posé par les praticiens et les couples bénéficiaires des nouvelles techniques de la PMA qui ont transformé la vie de dizaines d’entre eux.
C’est du moins ce qui ressort des deuxièmes journées scientifiques de la clinique Fériel d’assistance médicale à la procréation organisée, hier, en collaboration avec les laboratoires Organon à l’hôtel Sheraton. Cette journée qui a réuni des spécialistes de renommée internationale a permis aux médecins algériens de se familiariser avec les nouvelles techniques plus pointues et les études récentes faisant l’écho des expériences vécues dans les centres de PMA à l’étranger. Outre les aspects purement techniques liés aux procédés de la technique, les spécialistes ont mis l’accent sur le problème d’infertilité et ses causes. Pour docteur Nedir, directeur de la journée et de la clinique Feriel, la stérilité est aujourd’hui beaucoup moins taboue qu’autrefois.
60 % chez les hommes
Il a signalé que la stérilité en Algérie est plus masculine que féminine, contrairement à ce que l’on veut faire croire. Elle est de près de 60% chez les hommes et de 50% chez les femmes. Après avoir fait une présentation des techniques utilisées dans son centre, docteur Nedir a évoqué le problème de non-remboursement par la Sécurité sociale du traitement : « Une ordonnance revient entre 80 000 à 100 000 DA. Il est aussi souhaitable qu’au moins deux tentatives de FIV (fécondation in vitro) soient prises en charge par la CNAS. » Docteur Nedir a précisé que la Sécurité sociale française rembourse quatre tentatives de FIV traditionnelle aux couples et jusqu’à six essais pour l’insémination. Il est à signaler que l’injection intracytoplasmique de spermatozoïde (ICSI) est aussi remboursée. Les causes de l’infertilité sont aussi dues, selon les intervenants, au vieillissement des mamans. Pour docteur Achour, chargé d’AMP à la clinique Feriel, qui est revenu sur la prise en charge des femmes de 40 ans et plus en Algérie, il est important de lancer une campagne de sensibilisation pour faire un enfant précocement.
Des résultats importants
Car pour lui, la chute de fertilité est une réalité incontournable et les chances de procréer diminuent. Face au vieillissement des ovaires et les anomalies hormonales, il est plus difficile de procréer. Avec les méthodes d’assistance médicale à la procréation utilisées dans le centre, on a pu avoir des résultats très importants. Ils varient entre 10% à 15% de succès. Il a signalé que durant l’année 2004 à 2005, la clinique a enregistré un taux de grossesse de 13% pour des femmes âgées entre 40 et 41 ans et 10% pour celles âgées de 42 à 43 ans. Il est par contre entre 28 à 30% pour celles âgées de 36 ans. Il a signalé aussi que les patients sont sélectionnés. « Ces techniques ne sont pas utilisées chez des personnes à l’âge avancé, et seulement, si la santé de l’ovaire est favorable à ce type de techniques », dira-t-il. Abondant dans le même ordre d‘idées, pour les professeur André Hazout et Boubli Léon, venus respectivement de Marseille et de Paris, il est préférable de faire des enfants très tôt . Ce qui évite, d’après eux, des grossesses à risques. « Une grossesse à 40 ans peut engendrer des complications pathologiques telles que l’hypertension artérielle et autres », ont-ils précisé. Pour ces deux spécialistes, les techniques de la PMA ont un intérêt particulier pour certaines femmes qui ont subi des interventions chirurgicales par le fait de congeler leurs ovocytes. Le problème de la périménopause a été également abordé par docteur Jamin Christian de Paris, qui estime que le principal ennemi de la fertilité est l’âge.
Djamila Kourta | |
| | | Missviolette Administratrice
Nombre de messages : 4321 Age : 49 Localisation : Près de Lyon Date d'inscription : 19/09/2005
| Sujet: Re: Jeudi : infos, nouveautés... Jeu 2 Mar à 0:33 | |
| lu sur http://www.e-sante.be/be/magazine_sante/femmes_sante/projetez_bebe-5910-951-art.htm
Vous projetez de faire un bébé ? Il faudrait généraliser une sorte de consultation préconceptionnelle afin de repérer les problèmes éventuels et d'envisager les différentes stratégies optimisant les chances de conception et de grossesse non compliquée. Celle-ci serait l'occasion de faire des recommandations et de prévenir …
Prévenir les risques des grossesses tardives
En trente ans, l'âge moyen des grossesses est passé de 22 à 29 ans. Les grossesses au-delà de 35 ans sont donc de plus en plus fréquentes, alors qu'elles s'accompagnent d'une petite augmentation des risques généraux, notamment de trisomie 21 et de fausses couches. Il est donc nécessaire de prévenir les femmes et de les encourager à faire des enfants avant 30 ans, et en tout cas avant 35 ans.
Poids à surveiller
L'obésité est en forte croissance. Or elle s'accompagne de nombreux risques, en commençant par des difficultés à la conception et en passant par le diabète gestationnel et l'hypertension gravidique (développée pendant la grossesse). Inversement, une maigreur excessive peut notamment favoriser la prématurité. La consultation préconceptionnelle serait donc l'occasion de prévenir les futures mères et de les encourager à retrouver un indice de masse corporel compris entre 19 et 25 (poids en kg sur la taille en m au carré).
Lutter contre le tabac, l’alcool, les drogues et l’automédication
Environ 37% des femmes fument avant la grossesse et seulement la moitié arrête au cours de celle-ci. Le tabac est particulièrement néfaste durant la grossesse et de plus, il nuit à la fertilité. Planifier l'arrêt avant est essentiel mais reste possible chez les femmes enceintes et allaitantes. Le recours aux substituts nicotiniques est possible. Attention toutefois, l'arrêt pendant la grossesse peut s'accompagner d'une prise de poids. Alors mieux vaut prévenir, être encouragée, bien suivie et conseillée. L'alcool est aussi un problème majeur, avec un risque d'intoxication fœtale. L'objectif est de zéro alcool durant la grossesse. Evidemment toute prise de drogue doit être interrompue : cannabis, ecstasy, amphétamines, opiacés. Et enfin, pas d'automédication, tandis que toute prescription médicale doit tenir compte d'un projet natal et d'une grossesse en cours.
Maladies infectieuses, dépistages et vaccinations
Les éventuelles infections et l'état des vaccinations doivent être connus avant toute grossesse : sérologies de la syphilis, de la rubéole, de la toxoplasmose. La sérologie du virus du sida est facultative. Le cas échéant, des conseils seront divulgués. Il existe également des recommandations alimentaires pour éviter une listériose.
Supplémentation en acide folique
Il est recommandé de débuter cette supplémentation un mois avant la conception et de la poursuivre durant deux à trois mois afin de prévenir certaines malformations fœtales.
Cette consultation préconceptionnelle permettrait également de prendre en charge rapidement toutes difficultés de conception, de discuter de l'espacement des grossesses, d'éventuelles expositions à des facteurs toxiques (irradiations, solvants industriels …). Mais aussi de prévenir les femmes avant la conception de l'importance d'une alimentation saine et d'équilibrer toute pathologie (diabète, hypertension …).
28/02/2006 | |
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