| Essais-BB Pour tous les curieux, les futurs parents en puissance, et surtout pour ceux qui ont envie d'avoir un Bébé, mais qui restent sur leur déception... |
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| Jeudi : infos-nouveautés... | |
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Missviolette Administratrice
Nombre de messages : 4321 Age : 49 Localisation : Près de Lyon Date d'inscription : 19/09/2005
| Sujet: Jeudi : infos-nouveautés... Mer 15 Mar à 23:50 | |
| lu sur http://www.lanouvelle.net/php/articleinfo.php?id=25283&SUBCATID=01&articleid=25283&journal=NV
L’infertilité demeure taboue
(actualités au Canada)
Mélanie Vaugeois et son conjoint Steeve Saucier et, debout, Lina Côté et Linda Bouchard Hélène Ruel ruelh@transcontinental.ca Article mis en ligne le: 08.03.2006
Peut-être justement parce que l’infertilité demeure un sujet tabou, peu de couples se sont présentés à la première de la série de rencontres «Donner la vie» que la jeune Mélanie Vaugeois a lancée le 11 février avec la collaboration de l’Association Parents-Ressources.
Trois couples ont osé leur présence tandis que d’autres se sont contentés de téléphoner pour manifester leur intérêt à ce qui est devenu une «cause» pour Mélanie Vaugeois et son conjoint Steeve Saucier.
«Bien des couples ressentent de la honte, sinon de la gêne, à révéler qu’ils veulent, mais ne peuvent. avoir un enfant. Et s’ils en parlent à leurs amis, leurs familles, cela devient un piège. Leur entourage compatit, mais ne comprend pas toujours à quel point c’est une épreuve que de tenter de régler un problème d’infertilité», croit Mélanie.
Qu’à cela ne tienne, tant la jeune femme de 29 ans que la coordonnatrice de Parents-Ressources, Lina Côté et l’intervenante Linda Bouchard persistent et organisent une deuxième rencontre, le samedi 25 mars à compter de 9 heures à la Maison des familles (86, rue Saint-Paul à Victoriaville).
Mais cette fois, l’atelier s’ouvre à plus de couples. Pas seulement à ceux qui ont ou qui veulent entreprendre de coûteuses démarches (tant pour le portefeuille que pour l’équilibre du couple) vers la procréation assistée, mais aussi à ceux qui planifient une grossesse et cherchent une façon de s’y préparer.
On s’attardera plus spécifiquement à la méthode sympto-thermique avec un moniteur de SÉRÉNA. «On parle beaucoup de moyens de contraception, mais peu de conception planifiée. Bien des couples veulent avoir un enfant sans trop comprendre comment fonctionnent le corps des femmes et le cycle ovulatoire», précise Lina Côté.
La méthode sympto-thermique permet à une femme d’identifier le moment de son ovulation grâce à la lecture combinée de sa température et de ses symptômes.
Bien sûr, l’échange avec les participantes et participants à la rencontre peut ouvrir la porte aux questions traitant d’infertilité et aux méthodes de procréation assistée, le «cheval de bataille» de Mélanie Vaugeois et de son conjoint.
Après des tentatives infructueuses d’insémination, le couple a décidé de se tourner vers la fécondation in vitro.
Les questions relatives aux traitements d’infertilité donnent lieu à de fréquents débats ces temps-ci, observe la jeune femme. «Bien des gens méconnaissent les techniques et les associent, à tort, au clonage, à la manipulation génétique et au bébé transgénique. Moi, j’y vois un coup de pouce à la nature.»
Elle continue de croire que les couples infertiles ont avantage à rechercher du soutien, et qu’en ce domaine comme pour d’autres, l’entraide et l’information sont essentielles.
Lina Côté ajoute que les couples doivent aussi pouvoir estimer avec justesse les limites psychologiques et financières au-delà desquelles le désir de procréation devient une menace.
Outre l’Association canadienne de sensibilisation à l’infertilité (www.iacc.ca), Mélanie et Steeve font également partie de l’Association des couples infertiles du Québec (www.groups.msn.com) où l’on peut aussi obtenir de l’information.
Pour participer à la deuxième rencontre de «Donner la vie», il serait préférable d’appeler à l’avance en composant le numéro 758-4041 et en demandant Lina Côté ou Linda Bouchard. | |
| | | Missviolette Administratrice
Nombre de messages : 4321 Age : 49 Localisation : Près de Lyon Date d'inscription : 19/09/2005
| Sujet: Re: Jeudi : infos-nouveautés... Mer 15 Mar à 23:52 | |
| lu sur http://filleougarcon.infobebes.com/htm/article_fg/article.asp?id_rubrique=3&id_sous_rub=158
Le bilan de fécondité Quand s'inquiéter ? Il faut en moyenne quatre mois pour réussir à avoir un enfant (25% de chances par cycle menstruel), et parfois bien plus longtemps encore. Pour qu'un rapport amoureux aboutisse à une fécondation, un grand nombre de conditions doivent être réunies. C'est pourquoi il faut en moyenne quatre mois pour réussir à avoir un enfant (25% de chances par cycle menstruel), et parfois bien plus longtemps encore.
Aussi, les gynécologues considèrent qu'il est inutile de consulter pour une éventuelle stérilité avant au moins une année de rapports amoureux "infructueux".
Pourtant, beaucoup de couples s'impatientent : le désir d'enfant est un motif de consultation de plus en plus répandu, peut-être parce que la décision est prise de plus en plus tard de nos jours (aux alentours de 29 ans en moyenne). Or, cette donnée doit justement être prise en compte, puisque la fécondité diminue dès l'âge de 35 ans.
Quelques définitions Fertilité ou fécondité : capacité d'un individu à concevoir et donner la vie spontanément. A noter : un couple peut avoir été fécond, en ayant déjà donné vie, et ne plus l'être ; on parle alors de stérilité " secondaire ".
Infertilité ou stérilité : incapacité d'un individu ou d'un couple à concevoir un enfant sans assistance médicale. On ne commence à parler de stérilité qu'en l'absence de grossesse après deux ans de tentatives régulières. Dans 30% des cas, la stérilité du couple est due à l'homme, 30% à la femme, 30% aux deux, tandis que le reste est inexpliqué.
Des facteurs psychologiques également en jeu
" Demandez-vous d'abord si votre désir d'enfant est bien réel : bien des "stérilités" sont en fait dues à une ambiguïté de l'un ou des deux partenaires face à la venue d'un bébé […] Votre histoire familiale, votre projet éducatif, l'évolution de votre couple sont autant de paramètres qui pèsent affectivement sur ce délicat mécanisme. "
Edwige Antier, Attendre mon enfant aujourd'hui, éditions Robert Laffont | |
| | | Missviolette Administratrice
Nombre de messages : 4321 Age : 49 Localisation : Près de Lyon Date d'inscription : 19/09/2005
| Sujet: Re: Jeudi : infos-nouveautés... Mer 15 Mar à 23:55 | |
| lu sur http://www.sur-la-toile.com/mod_News_article_1306___.html
Pourquoi un baby-boom au Néolithique ?
Posté le 11 mars 2006 à 12:00:00 CET par ben TrackBack: http://www.sur-la-toile.com/trackback.php?id=1306 (explications) jcl a écrit : L'avènement du Néolithique est marqué par la sédentarisation des populations et pas la mise en place progressive de l'élevage et de l'agriculture. A cette même période, les populations ont connus une sorte de baby boom de la préhistoire. Comment, pourquoi ? Deux chercheurs du CNRS apportent des réponses.
Jean-Pierre Bocquet-Appel, directeur de recherche, et Stephan Naji, doctorant, ont passé au crible les données statistiques des cimetières du néolithique et de la période le précédant le mésolithique. Ils se sont aperçus que les cimetières du néolithique contiennent beaucoup plus d'ossements d'enfants et d'adolescents que la période avant la sédentarisation.
L'explication de ce phénomène est l'augmentation de la fertilité et donc de la population jeune. En effet, selon les chercheurs, les chasseurs cueilleurs qui se déplaçaient au mésolithique portaient leurs enfants. Ces derniers pouvaient profiter longtemps de l'allaitement de leur mère, retardant le retour des règles et la possibilité de re-procréer. La sédentarisation fait que la mère peut poser son enfant plutôt (il n'a pas à se déplacer) et peut procréer, à nouveau, plus vite. On estime le nombre d'enfants par femme entre 8 et 12.
L'avènement de ce surplus d'enfants a dû provoquer une crise grave parmi les nouveaux sédentaires, les ressources n'étaient pas adaptées. Cette crise a pu accélérer la mise en place de l'agriculture et de l'élevage, ancrant la sédentarisation : un cercle vertueux, si on peut dire.
Selon les points géographiques, le néolithique a commencé à des moments différents : il y a 9000 au Moyen-Orient, il y a 3000 ans en Amérique du Nord. Cependant, dans tous les cas, le schéma décrit s'est reproduit de façon identique.
Source: CNRS | |
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