Missviolette Administratrice
Nombre de messages : 4321 Age : 49 Localisation : Près de Lyon Date d'inscription : 19/09/2005
| Sujet: Infos, nouveautés, etc... Lun 28 Aoû à 3:59 | |
| lu sur http://www.servicevie.com/02Sante/Sante_femmes/Femmes23092002/femmes23092002.html
Le stylo-injecteur Puregon® Un traitement contre l'infertilité Un nouveau dispositif d'administration des hormones a récemment fait son apparition en matière de traitement contre l'infertilité, il s'agit du Puregon® Pen. Le stylo-injecteur Puregon® repose sur la technologie qu'utilisent les diabétiques pour s'injecter eux-mêmes l'insuline. D'usage facile et très commode, il permet aux femmes de s'administrer leur inducteur de l'ovulation chez elles, de façon précise et sans danger, grâce à une aiguille très fine qui ne pénètre que sous la surface de la peau. Il réduit aussi le stress et la douleur liés au traitement. Les anciens médicaments contre l'infertilité nécessitaient des injections intra-musculaires quotidiennes douloureuses, au moyen d'une seringue normale, pour produire leur effet sur les ovaires. Le stylo-injecteur est également conçu pour l'administration de différentes doses par simple réglage d'un cadran de dosage à la quantité désirée.
(lire la suite : http://www.servicevie.com/02Sante/Sante_femmes/Femmes23092002/femmes23092002.html)
lu sur http://www.lefigaro.fr/sciences/20060824.FIG000000020_la_remuneration_des_donneuses_d_ovocytes_en_question.html
La rémunération des donneuses d'ovocytes en question Maud Noyon . Publié le 24 août 2006
La production d'ovules nécessite une stimulation hormonale qui n'est pas sans risques pour les donneuses. Certains estiment que les dons doivent être rétribués.
L'OBTENTION d'ovocytes humains (des oeufs féminins) utilisés dans la recherche sur les cellules souches embryonnaires est à lui seul un problème éthique pour la recherche. Plusieurs voix se prononcent en faveur d'une rémunération des donneuses. «Les femmes qui font don de leurs ovocytes pour la recherche sur les cellules souches devraient être indemnisées pour les inconvénients, le temps et les efforts fournis», affirme ainsi Insoo Hyun, un spécialiste en bioéthique, basé à l'Université de Cleveland (Nature, 10 août 2006). «Elles devraient entrer dans la même catégorie que des volontaires sains dans un essai thérapeutique», dans la mesure où elles risquent leur santé et que «les recherches ne leur sont pas directement bénéfiques», ajoute-t-il. Les femmes peuvent produire jusqu'à une dizaine d'ovules en une seule fois en subissant une stimulation ovarienne identique à celle qui est utilisée pour le traitement de l'infertilité. Cette stimulation, qui s'accompagne d'une préparation contraignante, nécessite des injections quotidiennes d'hormones pendant environ trois semaines. Aux nombreux effets secondaires possibles s'ajoute le syndrome d'hyperstimulation ovarienne. Le pionnier du clonage humain inculpé Une étude publiée dans la revue Science (juin 2005) avait révélé que le syndrome d'hyperstimulation ovarienne pouvait apparaître jusque dans un cas sur dix, avec pour conséquences des problèmes d'infertilité, des dysfonctionnements rénaux, voire la mort. La rémunération des donneuses pourrait, selon Hyun, compenser les risques courus. D'autant que la recherche requiert un très grand nombre d'ovocytes, des cellules rares et ne pouvant être stockées. Le professeur Hwang, Sud-Coréen considéré un temps comme le pionnier du clonage humain avant d'être inculpé au printemps dernier pour fraude et détournement de fonds, aurait eu à sa disposition 2 061 ovocytes, sans réussir pour autant à obtenir un seul clone humain, comme l'enquête l'a démontré. On a appris qu'il avait rémunéré ses collaboratrices qui lui avaient fourni des ovocytes, sans les avertir suffisamment des risques du traitement, en violation des lois bioéthiques de son pays. Insoo Hyun avait étudié à Séoul les protocoles du professeur Hwang et les avait jugés parfaitement éthiques, avant que ce dernier ne soit démasqué. La rémunération des donneuses pour compenser la carence des dons d'ovocytes ne fait pas consensus dans le milieu scientifique. «Hyun est dans une perspective pragmatique et consumériste. On ne peut pas obtenir d'ovocytes par le don, alors on les achète», analyse Jacqueline Mandelbaum, spécialiste française de la fécondation in vitro et membre du Comité national consultatif d'éthique. En Grande-Bretagne, l'organisme chargé d'encadrer la recherche sur l'embryon a récemment approuvé l'initiative intéressante d'un centre de recherche. Il participerait aux frais de traitement contre la stérilité des femmes qui offriraient leurs ovocytes surnuméraires à la recherche.
lu sur http://www.presseportal.ch/fr/story.htx?nr=100514934&ressort=100000008
Initiative Désir d'Enfant: étape par étape vers la famille
Une étude scientifique en arrive à la conclusion que, dans les pays développés, près du tiers (74%) des couples concernés par un désir d'enfant non exaucé ne recourent à aucune aide ou qu'ils abandonnent prématurément la clarification et/ou le traitement. C'est la raison pour laquelle l'Initiative Désir d'Enfant met en circulation un nouveau guide-conseil destiné aux couples dont le désir d'enfant n'est pas comblé. Il y est expliqué, étape par étape, comment le désir d'avoir une famille peut être exaucé.
L'effort de cohésion déployé au niveau international par des organisations de patients et des spécialistes en la matière a permis de publier un guide informatif accessible à tous qui souhaite briser le tabou de l'infertilité et abaisser le seuil d'inhibition lié à une première consultation et à un traitement.
En collaboration étroite avec des médecins spécialistes de la reproduction ainsi que des conseillers de santé, l'organisation suisse de patients et de personnes concernées "Association Désir d'enfant" (Verein Kinderwunsch) a contribué à l'élaboration de ce nouveau guide-conseil. Les résultats de recherche de l'Initiative Désir d'Enfant révèlent une méconnaissance alarmante des causes de l'infertilité et, surtout, des possibilités dont disposent les couples ayant des problèmes de conception. En outre, près de la moitié d'entre eux (48%) déclarent que beaucoup de traitements liés à un désir d'enfant sont déconcertants et peu engageants. Or, le guide-conseil démontre que de nombreuses méthodes de traitement modernes sont relativement simples, non invasives et efficaces.
L'Initiative Désir d'Enfant (Assisted Conception Task Force, ACT) est un groupe de travail international composé de représentants des patients et d'experts en matière de santé issus de 20 pays dans le monde qui s'intéressent particulièrement aux problèmes de conception et qui disposent de connaissances spécifiques dans ce domaine. Cette initiative est soutenue par la Société Suisse de Gynécologie & d'Obstétrique (SSGO) et la Société Suisse de Médecine de la Reproduction (SSMR).
lire la suite : http://www.presseportal.ch/fr/story.htx?nr=100514934&ressort=100000008
lu sur http://www.neufmois.fr/article_24_1137,la-fausse-couche---faire-son-deuil-pour-repartir.html
La fausse couche : faire son deuil pour repartir La fausse couche constitue une épreuve douloureuse pour toute femme. C’est un choc provoquant très souvent un moment de dépression qui peut durer plus ou moins longtemps...
Cette dépression s’explique physiquement (comme après l’accouchement) par le bouleversement hormonal qui suit l’arrêt d’une grossesse, mais aussi et surtout psychologiquement. Quand l’annonce de la grossesse est porteuse de joie, la femme vit cela comme un arrêt brutal, une véritable perte. Elle éprouve en général une profonde tristesse, liée parfois à un sentiment confus de culpabilité (« je ne me suis pas assez reposée », « j’étais trop stressée », « je ne désirais pas assez ce bébé »…).
Le traumatisme psychologique est réel et d’autant plus dur qu’il se heurte à une tendance, des médecins et de l’entourage, à banaliser l’événement (« c’est pas grave », « cela arrive fréquemment », « tu auras d’autres enfants »…). La femme a besoin de compréhension et de respect pour son chagrin.
Il est essentiel qu’elle puisse confier ses angoisses à son compagnon ou à son médecin pour faire le deuil de cet enfant perdu. Après cet épisode, de nombreuses angoisses et questions portant sur l’avenir peuvent surgir. Le médecin rassurera sa patiente en lui expliquant que la fausse couche est le plus souvent accidentelle et n’a aucune incidence sur les grossesses futures.
Si vous êtes pressée d’être à nouveau enceinte, ne vous impatientez pas. Il est recommandé de laisser passer deux ou trois mois : c'est en général le temps nécessaire pour retrouver un équilibre physique et psychologique.
Eleonora Cantournet | |
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