lu sur http://v2.e-llico.com/article.htm?rubrique=actu&articleID=14148
«Zéro alcool pendant la grossesse»: un logo sur les bouteilles en FranceAFP Paris
Les bouteilles de boissons alcoolisées devront porter, soit un logo, soit un message sanitaire prévenant les femmes des risques que la consommation d'alcool pendant la grossesse peut présenter pour l'enfant à naître, selon un arrêté publié mardi au Journal Officiel.
«Même en faible quantité», une telle consommation «peut avoir des conséquences graves pour la santé de l'enfant», prévient le message sanitaire.
Message ou logo devront figurer sur tous les conditionnements de boissons, «de manière à être visible, lisible, clairement compréhensible, indélébile», y compris celles distribuées à titre gratuit.
lu sur http://www.e-sante.be/be/magazine_sante/femmes_sante/kilo_superflu_e_grossesse-6494-951-art.htm
Pas de kilo superflu avant une 2e grossesseL'analyse des variations de poids entre deux grossesses dans une population de femmes suédoises suggère qu'il vaut mieux perdre les kilos superflus avant une 2e grossesse. Ce conseil s'adresse aux femmes en surpoids qui désirent un second enfant. Mais il est également recommandé aux autres de retrouver un poids normal avant de programmer une nouvelle grossesse.
Quelle est l’influence du poids sur le déroulement de la grossesse ?
Les effets du poids sur la grossesse sont particulièrement difficiles à évaluer. Une équipe de chercheurs a eu l’idée de s’intéresser à une population de 150.000 femmes ayant mené deux grossesses, et de comparer le déroulement de la grossesse entre la première et la deuxième, en notant la survenue des complications et les variations de poids.
Première grossesse
Lors de leur première grossesse ces femmes avaient un âge moyen compris entre 25 et 29 ans et un indice de masse corporelle compris entre 18,5 et 24,9 (le surpoids débutant à 25). En d’autres termes, juste avant la conception, elles pesaient entre 51 et 68,5 kg pour 1,65 m.
Les complications survenues lors des premières grossesses ont été enregistrées : prééclampsies (hypertension artérielle et protéinurie survenant après la 20e semaine de grossesse), éclampsies (stade grave d’hypertension), diabète de la grossesse, césariennes, fausses couches, retard de croissance et macrosomies (périmètre crânien et abdominal du fœtus au-dessus de la normale et poids de naissance élevé).
Deuxième grossesse : le poids majore les risques
Le délai entre les deux grossesses était majoritairement compris entre 12 et 23 mois.
En moyenne, entre les deux grossesses, l’indice de masse corporelle était majoré de 0,7, soit de 1,950 kg pour 1,65 m.
Au-delà d’une majoration de 3 de l’indice de masse corporelle entre les deux grossesses, les risques de complications gestationnelles sont largement potentialisés : +78% de risque de prééclampsie, +76% d’hypertension, +109% de diabète, +32% de césarienne, +63% de fausse couche et +87% de macrosomie.
Cette hausse des risques est proportionnelle à la prise de poids.
Ainsi concrètement, une femme de 1,65 m qui pesait 63 kg avant sa première grossesse et qui a pris 3 kg au moment de la seconde, augmente par exemple son risque de diabète gestationnel de 30% ou de 100% si elle prend 6 kg. Si elle devient obèse, le risque est majoré de 200%.
Ces résultats sont assez convaincants pour inciter les femmes à reprendre un poids normal entre chaque grossesse et conseiller aux femmes en surpoids de perdre du poids avant de débuter une grossesse.
17/10/2006
lu sur http://www.menara.ma/infos/includes/detail.asp?lmodule=Femmes&article_id=3088
Grossesse : le patch moins dangereux que la clope(8/10/2006)
Les traitements par substituts nicotiniques (TSN) utilisés pendant la grossesse, "comportent moins de risques" pour le foetus que l'exposition à la fumée de cigarette. C'est la conclusion d'un groupe de travail de l'AFSSaPS.
Les traitements par substituts nicotiniques (TSN) utilisés pendant la grossesse, "comportent moins de risques" pour le foetus que l'exposition à la fumée de cigarette. C'est la conclusion d'un groupe de travail de l'AFSSaPS.
L'Agence française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé vient de rendre publique la réévaluation de la balance bénéfice/risque des TSN. Elle avait en effet réclamé cette dernière, au vu des conclusions alarmantes d'une étude américaine publiée en janvier 2006.
Cette dernière faisait état "d'une possible augmentation du risque de malformation foetale", en cas d'utilisation des TSN durant le premier trimestre de grossesse. Or après analyse de cette étude, l'AFSSaPS "ne relève aucun élément solide à l'appui d'une (telle) augmentation".
L'agence conclut donc qu' "en l'état actuel des connaissances, aucun risque de malformation ou de toxicité foetale ne semble imputable à l'utilisation des TSN". Et cela quelle que soit la forme galénique considérée : patch, pastilles, gomme à mâcher, cartouche pour inhalation buccale...
Ce travail permet aussi de rappeler qu'en tout état de cause, il est vivement recommandé d'arrêter de fumer avant le début d'une grossesse. Car le tabac multiplie par 3 le risque d'avortement, et par 2 celui de grossesse extra-utérine. Sans parler ensuite des risques de prématurité, de naissance d'enfants de faible poids, et des troubles du comportement auxquels sont exposés les enfants de fumeuses...
Source Destination Santé
lu sur http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2006/10/20061018-150900.html
Enfants «explosifs» et... parents démunis Katia Mayrand
18/10/2006 15h09
Si les enfants «explosifs» causent des maux de tête à leurs professeurs, les parents de ces derniers se retrouvent de plus en plus démunis face aux crises de leurs rejetons.
Suzanne, mère de quatre enfants, sait de quoi il s'agit. Son cadet, 13 ans, n'est pas de tout repos depuis son entrée au secondaire. «Quand je lui dis non ou que je fais de l'autorité, il crie, menace de ne rien faire et m'affronte. Ça arrive aussi qu'il se sauve dehors. Je dirais que l'année qui vient de passer a été la pire», confie-t-elle. La mère de famille a même consulté un psychologue avec son fils pour essayer de régler le problème. «Quand il fait une crise, je ne m'obstine pas mais je tiens mon bout. J'attends qu'il se calme pour parler avec lui», poursuit-elle, avouant que la situation peut être stressante et décourageante par moments. «Aujourd'hui, les enfants ont beaucoup de droits et ils les connaissent. Quant aux parents, ils ne mettent pas toujours assez leurs culottes», remarque-t-elle.
Consultation
Selon Louise Pellerin, directrice et intervenante au service éducation Coup-de-fil -- un service téléphonique gratuit de consultation professionnelle sur les relations parents-enfants --, il n'est pas rare que des parents appellent en pleurant, ne sachant plus quoi faire pour gérer les crises et les problèmes de comportement de leurs enfants. «Ce sont habituellement des parents qui font leur possible dans des situations difficiles. Ils se sentent démunis. Ils ont tout essayé, mais ça ne fonctionne pas. En plus, ils ont peur de faire des erreurs», affirme Mme Pellerin, intervenante depuis 10 ans.
Dans ses interventions, Louise Pellerin remarque que les parents ont de plus en plus de difficultés à fixer des limites à leur progéniture. «C'est sûr que c'est plus confrontant de fixer des limites, mais les jeunes en ont besoin. S'ils n'en ont pas, ils vont toujours essayer d'aller plus loin.»
Comment réagir?
Dans ses interventions, Louise Pellerin explique aux parents que, lors d'une crise, ce n'est pas le temps d'intervenir au niveau rationnel. «Il faut dire à l'enfant, par exemple,»Je comprends que tu voulais ce morceau de gâteau«, puis mettre en mots ses émotions:»Je sais que tu es fâché«.» Là où plusieurs font une erreur, c'est d'accorder trop d'attention à l'enfant qui fait sa crise parce qu'il n'a pas eu ce qu'il voulait. «Si l'enfant donne des coups et brise des choses, il faut l'arrêter. Sinon, on le laisse faire sa crise et on lui dit qu'on lui parlera quand il se calmera, précise l'intervenante. Le meilleur truc, ça reste de faire du renforcement positif sur les gestes qu'on veut voir de la part de l'enfant», conclut-elle.
lu sur http://www.humanite.presse.fr/journal/2006-10-17/2006-10-17-838766
Robien accusé de monter les parents contre les profs Lecture . Enseignants, pédagogues et parents dénoncent le double discours du ministre.
Mis à l’amende par le ministre de l’Éducation, les enseignants n’ont pas dit leur dernier mot quant à l’apprentissage de la lecture au CP. Gilles de Robien les accuse de ne pas obtempérer à son ordre d’abandonner la méthode dite globale (analyse du sens des mots et des phrases) au profit exclusif de la méthode dite syllabique (b.a.-ba). Eux, en choeur avec plusieurs associations pédagogiques ou de parents d’élèves, continuent de dénoncer l’hypocrisie malveillante du ministre. En fin de semaine dernière, les premiers responsables d’une dizaine d’organisations (1) signaient ainsi une lettre ouverte adressée à Gilles de Robien à qui ils reprochent « d’entretenir le trouble dans l’opinion publique » et de professer « le simplisme pédagogique ».
« Vous affichez publiquement des positions qui sont en contradiction avec celles des programmes que vous avez signés », relèvent les rédacteurs de la lettre, faisant référence aux programmes de CP que le ministre jure avoir bouleversés quand il ne les a modifiés qu’à la marge (l’Humanité 9 octobre) ; « Vous déformez délibérément les résultats aux différentes évaluations (...) ; vous écartez des chercheurs reconnus des dispositifs de formation sous prétexte que leur parole n’est pas en conformité avec votre discours », poursuivent-ils, épinglant l’éviction de l’universitaire Roland Goigoux de l’École supérieure de l’éducation nationale (ESEN) (l’Humanité du 28 septembre). « Vous menacez les enseignants du premier degré d’une enquête pour vérifier s’ils appliquent vos consignes (...) et vous engagez les parents à dénoncer les maîtres » qui ne s’y plieraient pas. En bref, conclut la lettre ouverte, « en entretenant la suspicion (...), c’est vous qui mettez l’école en danger ». Déjà, certains professeurs des écoles témoignent de pressions nouvelles de la part des familles inquiètes.
Afin de contrer le phénomène, le SNUIPP, principal syndicat des enseignants du premier degré, a décidé de lancer sa propre campagne d’information. Dès mercredi, une nouvelle affiche devrait apparaître sur les murs des écoles, qui dénonce le charlatanisme du ministre. En photo : deux mains enrobant une boule de cristal. En texte, sur un bout de papier semblable à ceux que diffusent les marabouts : « Grand ministre inspiré cherche par la magie à imposer aux enseignants une seule méthode. Oubliez expérience, recherche et diversité ! Pas d’inquiétude pour les enfants ! Il suffit d’obéir ! Consultations (sans garantie de résultat) au 110, rue de Grenelle. Promesses gratuites. » Difficile d’être plus clair.
Cela suffira-t-il aux enseignants pour faire entendre leur point de vue ? Pas sûr. Réputée pour son conservatisme, l’association SOS-Éducation se payait, la semaine dernière, des encarts publicitaire dans la presse régionale, appelant les parents à dénoncer les profs qui utiliseraient des manuels de lecture usant « de la méthode semi-globale ». Et puis Gilles de Robien dispose de l’arme ultime : la sanction. Et il en use.
(1) AFEF, AGEEM, AIRDF, CRAP Cahiers pédagogiques, FCPE, GFEN, ICEM Pédagogie Freinet, Ligue de l’enseignement,
SI. EN-UNSA, SE-UNSA, SGEN-CFDT, SNUIPP-FSU, SNPI-FSU.
Marie-Noëlle Bertrand
lu sur http://www.cyberpresse.ca/article/20061018/CPACTUALITES/610181514/5293/CPSOLEIL
Le guide annuel des jouets et des livres pour parents avertis est arrivéPAR ROLLANDE PARENT
Presse Canadienne MONTREAL
Le guide annuel des jouets proposé par le magazine Protégez-vous en collaboration avec Option consommateurs est cette année assorti d'un guide de livres pour les jeunes constitué par Communication-Jeunesse.
Dans les deux cas, iI s'agit d'outils pour guider les achats durant la période des fêtes. Ils ont été préparés à l'intention de ceux qui veulent que les enfants, petits et grands, tirent un maximum de profits de leurs jeux et livres.
Le guide 2007 comporte une liste de 50 jouets fonctionnant à piles (des jeux lumineux et musicaux par exemple) classés selon leur appétit énergivore.
Sur les 212 nouveaux jeux retenus pour les tests,137 ont été cotés très bon, six ont obtenu un prix d'excellence et six autres un prix poubelle.
Sur les 550 nouveaux livres jeunesse publiés en français cette année par des éditeurs québécois et canadiens, la sélection a porté sur 203 livres, dont 49 titres qui s'adressent aux 0-5 ans, 121 aux 6-12 ans et 33 aux adolescents. Ce sera la première fois que cette liste sortira du milieu des enseignants et des bibliothécaires.