A londres, l'autorisation d'éliminer des embryons porteurs des gènes de prédisposition aux cancers du sein et des ovaires, par le diagnostic pré-implantatoire (aprés une fécondation in vitro), vient d'être élargie. Jusqu'à présent, les autorités britanniques avaient permis ce tri d'embryons dans les cas où les gènes en cause avaient 90 à 100% de chances de provoquer des cancers. Désormais, cette probabilité "tombe" entre 40% pour celui des ovaires et moins de 80% pour celui du sein. En france, le tri d'embryons pour ce motif fait toujours débat.